Monter à cheval en hiver
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Monter à cheval en hiver

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La nuit tombée à 17h, la pluie, et les températures négatives… cela ne fait aucun doute :

L’hiver, cette période tant redoutée par de nombreux cavaliers, est bien là !

Cela peut être une bonne nouvelle… Si, si, on vous l’assure !

Pour ceux qui ont l’habitude de voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide, il n’est sûrement pas nécessaire d’argumenter pour vous convaincre. Pour les autres, il faut noter que les températures qui descendent peuvent avoir des bénéfices !

À noter qu’en hiver, les traditionnels intrus de l’été (oui, on parle bien ici des insectes !) laissent enfin un peu de répit à nos protégés.

Le rythme est ralenti : pour les plus compétiteurs d’entre nous, c’est le moment idéal pour réviser les gammes tranquillement à la maison, s’offrir quelques semaines de repos, ou encore faire des petits réglages utiles afin de préparer la saison à venir.

D’autant plus que, pour la plupart, à cette période, nos chevaux ont souvent de l’énergie à revendre ! En effet, les températures plus douces leurs conviennent souvent mieux.

L’hiver : de la prévention, et des solutions !

On ne va pas s’en cacher, la saison hivernale apporte tout de même son lot de déconvenues auxquelles nous devons nous adapter, comme pour tout autre sport d’extérieur.

Monter à cheval dans le noir alors qu’il est à peine 18h, avoir les pieds et les mains congelées, petit tonnerre qui décide qu’il préfère passer au bai… alors que sa robe est normalement grise…

Certains aléas touchent également nos chevaux. Dans ce cas, deux mots : prévention et solutions.

Les plus commun en hiver ? Les petits soucis touchant tout particulièrement les membres, notamment : la détérioration de l’état du pied.

Trop humide, le pied s’abime et n’a plus la capacité d’assumer toutes ses fonctions utiles au maintien d’un bon équilibre et d’une bonne locomotion du cheval.

Il est possible d’éviter de tels désagréments, en agissant dès les premiers signes observés. Cela peut par exemple être l’utilisation du Pedicade tous les trois jours en prévention afin d’éviter l’altération des fourchettes, ou bien tous les jours jusqu’à amélioration en tant que traitement. Cela peut aussi être l’application d’une huile ou d’un ongent, selon vos préférences.

A noter : un ongent s’applique sur un pied bien sec. Assurez-vous de bien sécher les sabots au préalable.

Si vous avez un doute sur le produit idéal à appliquer en fonction de la situation de votre cheval, n’hésitez pas à faire le test grâce au protocole pied Ravene, c’est juste ici !

Dites-nous tout, quels sont vos précieux conseils pour passer un hiver plus agréable ?

À bientôt, Amélie